Pourquoi cette pratique ?

La terre bouge... La terre mute et accouche d'un nouvel état vibratoire. La glace des pôles fond et libère les mémoires enfouies de ces derniers millénaires. L'histoire de l'humanité remonte, nous traverse, nous secoue... Les émotions fusent.

Ce qui était enfoui depuis des millénaires nous passe par le corps. Les femmes sont en première ligne pour accompagner ce mouvement planétaire. Comment ? En faisant descendre leur "COEUR DE SOURCE", "MERKABA", au niveau de leur sexe et de leur utérus.

Notre conscience amoureuse descend dans le magma planétaire et rencontre l'astral de l'humanité. Les femmes se dressent et se positionnent non seulement dans leurs droits mais aussi dans leur corps. Nous sommes des accoucheuses du vivant. La vie passe par nous, par nos sexes et nos ventres, les espaces les plus chargés de conditionnements d'abus et de déni.

Ce monde a besoin d'accoucheuses.

Qu'est-ce que le TCP ?

C'est un toucher doux et progressif qui inclut de nombreuses parties du corps et qui crée une progression dans la rencontre.

C'est un toucher dans la présence qui accueille tout ce qui est vécu dans l'instant.

Ce toucher entoure, accompagne, nourrit les espaces du périnée et du corps qui ont oublié leur vitalité.

L'accompagnante est un point d'appui vers la résilience intérieure (Ex : Mémoires d'accouchements, de soins médicaux, de rapports sexuels forcés, de viols).

Le TCP est un toucher qui permet aux femmes d'être en conscience dans cette rencontre. Elles rencontrent dans leur mental, dans leur corps et dans leurs émotions les différentes couches de consentement. Cette conscience des différentes couches de consentement leur permet de formuler leurs sensations, leurs émotions, leur OUI ou leur NON en toute sécurité et en confiance.

Ce cursus de transmission s'adresse aux professionnelles de l'accompagnement.

Le Toucher conscient périnéal (TCP) est une approche unique créée par Karine Maurer en 2015.

Un entretien avec Karine est requis avant toute inscription.

Les femmes ont perdu le goût de leur vulve, de leur vagin et de leur utérus. Leur sexualité est devenue une monnaie d'échange pour survivre.

Au fil des siècles, nos sexes sont devenus des déserts de conscience. Nous avons l'habitude d'y laisser passer des tampons, des spéculums, des doigts, des bébés, des godemichets mais pas notre présence. Nous sommes conditionnées à subir les entrées et sorties de nos sexes en nous laissant faire, en étant à côté de nous.

Combien de fois les NON se travestissent en OUI pour faire plaisir ?